Visiblement
fatigué, mais toujours soucieux de pédagogie citoyenne, François Fillon
a récemment rappelé aux micros d’une radio
soucieuse d’éviter le spectre d’une guerre civile qu’un « parti
politique, ce n’est pas une mafia ». L’histoire récente de la droite et
l’étrange ballet démocratique organisé depuis
quinze jours à la tête de l’UMP sous les yeux ébahis du parrain
Sarcosi donnent bien sûr raison à l’ex-premier ministre.
Pour faire un « grand parti politique, un parti qui puisse un jour revenir aux commandes du pays », il faut plus
qu’une mafia : il en faut deux ou trois.
A. G.
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